From French newspapers (in French):


"... L'artiste, au fil des toiles, nous introduit dans une interrogation en profondeur sur l'être humain. Nul environement factice, nulle surcharge ne viennent nous distraire de cette condition humaine, la nôtre, la vôtre...

... Cependant, dans ces oeuvres vibrantes de teintes sourdes mais subtiles, ces peintures tellement imprégnées des remous parfois grandioses de l'âme russe, cette mélancolie n'est jamais opprimante, jamais close, jamais fermée. Elle induit un attendrissement devant la précarité de notre nature, de cet homme se déplaçant, tel un funanbule, sur le fil ténu de sa propre vie, avec, à droite et à gauche, ce vide, objet de tout vertige..."


(De l'article de Jean-Damien Roumieu pour le journal "Olivier", Avignon).


"... Des lignes puissantes et simples comme les poutres d'une izba... Bref, du mouvement, de l'énergie, des sentiments qui vibrent comme la vie..."

(De l'article "Berre-les-Alpes: aux couleurs de la Siberie", Nice-Matin, 21 avril, 1997)


"... Chez Ivan Koulakov, le paradoxe est roi: l'amour est ainsi autant érotique que mélancolique... Ivan, d'ailleurs, n'hesite pas à intégrer ses tableaux; des pistes de cirque pour la pluparts car elles sont à l'image de la vie: les jongleurs ou les funanbules défient cette nottion d'équilibre qui pourrait résumer à elle toute seule notre trajet existentiel. Chaque jour, on se bat pour ne pas tomber. Vivre, c'est rester débout.

Vous l'aurez compris, l'oeuvre d'Ivan est guidée par l'optimisme. A travers, cette emotion positive, il arrive à marier l'aquarelle et l'encre de Chine; la finesse et l'épaisseur; l'amour d'un ballet érotique et la tristesse d'Anastasia qui, à Novossibirsk, attend le retour de son mari..."

(De l'article "L'art russe à Galante", La TRIBUNE, Avignon, 4 mai 1997)


"... Ses personnages sont le fruit d'une évidente sensibilité empreinte d'un réalisme où se mêlent figuration et cubisme, mais dont l'artiste confère son propre style. Son pinceau généreux donne naissance à des corps pleins d'allégresse soulignés par des lignes puissantes et simples à la fois, dominés par des tons gris-bleus et roses..."

(De l'article "Un air sibérien avec Ivan Koulakov", Le DAUPHINE, Avignon, 2 mai 1997)


"...Indécision, mystère, jeu des taches, de la composition et des couleurs, dynamisme des êtres, tristesse, sarcasme, ironie, humour... Toutes ces sensations, tous ces sentiments se succèdent ou se mêlent pour souligner chaque fois la beauté, le charme et la vitalité des lignes. Chaque oeuvre est le résultat d'un grand effort spirituel, qui dois toucher le coeur..."

(De l'article "Le charme slave d'Ivan Koulakov", NICE-MATIN, 18 septembre 1997.


"...L'univers de Koulakov rappelle le Picasso de la période rose: tout un monde d'acrobates, de funanbules, de musiciens, au corp à corp avec un élément féminin systématiquement lové voire enchâssé dans l'anatomie du male dominant. L'ensemble dégage une impression de fête triste, une douce mélancolie vibrant de teintes sourdes. Camaïeux de gris à peine rehaussés de quelque rouge éteint comme un de ces fanions oubliés de l'ex-URSS flottant dans la nuit glaciale de l'extrême pointe de Sibérie..."

(De l'article "Docteur Koulakov et Mister Ivan", L'ETENDART Côte d'Azur, Octobre 1997)


"...Des personnages vivants, dynamique ou pensifs mais qui gardent toujours un peu de leur mystère. Une réele émotion! Des toiles qui chantent, qui vibrent, des notes accrochées au vieilles pierres. Une vrais musique!..."

(De l'article "Berre-les-Alpes: vigeur et musicalité d'un peintre venu de Sibérie", NICE-MATIN, 27 octobre 1997)